REPORTAGES DE L'ANNÉE 2014
• été 2014 : atelier "Pierres Sèches"
Comme les années précédentes, Résurgences a proposé un atelier "Pierre sèche" au Campotel, tous les mardi matin des mois de juillet et août. Cet atelier, animé par Gilbert Tacussel et Jean-Paul Pecchioli, propose aux amateurs une initiation à la construction de murs en pierres sèches, c'est-à-dire sans mortier. Cette activité est accessible à tout le monde, grands et petits, à condition d'être équipé de gants de protection et de bonnes chaussures.
Voici quelques images d'une de ces matinées.
Voici quelques images d'une de ces matinées.
• 15 juillet 2014 : visite des balcons de Bédarieux |
Durant les mois de juillet et août, un mardi sur deux en fin d'après-midi, Résurgences propose une visite de la ville et de ses balcons sous la houlette de Robert Benezech et Jean Lavastre. Voici un diaporama d'une de ces visites.
• du 4 au 21 août 2014 : Exposition sur les accordéons |
À l'occasion du festival « Bédarieux voix d'orgues » dont un moment fort était le concert donné par Richard Galliano, Résurgences a présenté salle Achille Bex une exposition intitulée « Accordéons et souvenirs de voyage » réalisée par l'association « le Grand Soufflet » de Rennes. Interactives, en sons et en lumières, treize malles de voyage racontent des histoires d'accordéon dans un univers particulier :
- les salons napoléoniens avec "L'Accordion", modèle de1880,
- les bals populaires italiens avec un accordéon chromatique Soprani de 1930,
- le cabaret et le music-hall avec deux accordéons chromatiques de 1920,
- la fête paysanne avec un accordéon diatonique Dedenis de 1920,
- le cirque avec le concertina des clowns,
- la mer avec un accordéon diatonique Maugein Frères de 1940,
- l'Argentine et le tango avec un bandonéon de1880,
- la Louisiane avec un mélonéon allemand de 1870,
- le cinéma de Jacques Tati dans "Mon Oncle" avec un Hohner Sirena III des années 60,
- le cinéma encore avec un Fratelli Crosio de 1960,
- l'atelier de fabrication d'accordéons avec un Hohner des années 1930,
- le Tour de France et Yvette Horner avec un Cooperativa de 1955.
• 19 septembre 2014 : Conférence sur l'église Saint-Alexandre |
HCette conférence s'articulait en cinq chapitres :
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Cliquez ci-dessus pour télécharger le diaporama de la conférence.
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En ouverture des Journées Européenne du Patrimoine, Résurgences et le CEPO proposait aux Bédariciens une conférence sur l'église Saint-Alexandre.
• 20 et 21 septembre 2014 : Journées Européennes du patrimoine
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Le samedi 20 septembre matin, Résurgences proposait une visite commentée des balcons de Bédarieux, agrémentée grâce à l'association GuingoÏ par la présence de personnages en costumes d'époque.
L'après-midi, faisant suite à la conférence de la veille (voir ci-dessus), Résurgences faisait visiter l'église Saint-Alexandre en collaboration avec Paul Rodier qui présentait l'orgue avant d'y jouer quelques morceaux.
La matinée du dimanche 21, a été consacrée à une visite de la gare suivie de celle du musée du rail et d'un exposé sur l'histoire du chemin de fer à Bédarieux. Les visiteurs ont été accueillis au musée l'après-midi.
La matinée du dimanche 21, a été consacrée à une visite de la gare suivie de celle du musée du rail et d'un exposé sur l'histoire du chemin de fer à Bédarieux. Les visiteurs ont été accueillis au musée l'après-midi.
• 14 à 18 octobre 2014 : Centenaire de la guerre 14-18 |
Résurgences a marqué cette première année de commémoration de la grande guerre par une exposition et trois conférences se sont tenues dans la salle Achille Bex du 14 au 18 octobre 2014.
L'exposition comprenait deux parties :
Le sujet de la première conférence était "La vie des Héraultais pendant la Grande Guerre". Elle fut donnée le 14 octobre par l'historien universitaire Louis Ségondy, auteur du livre portant le même titre. |
Le lendemain, Jean Lavastre a développé le rôle éminent de Georges Clémenceau dans la conduite de la guerre jusqu'à la victoire finale.
Enfin, le 16 octobre, Georges Barthas est venu avec son épouse nous parler de son grand-père, Louis Barthas, tonnelier audois, qui, au lendemain de la guerre, raconta ses quatre années au front dans des cahiers d'écolier. Plusieurs classes du collège Ferdinand Fabre et de l'école Langevin Wallon ont visité l'exposition et assisté à l'exposé de Georges Barthas. Un jeu de questions-réponses animé par Jean Lavastre s'en est suivi, montrant toute la curiosité des jeunes élèves.
Enfin, le 16 octobre, Georges Barthas est venu avec son épouse nous parler de son grand-père, Louis Barthas, tonnelier audois, qui, au lendemain de la guerre, raconta ses quatre années au front dans des cahiers d'écolier. Plusieurs classes du collège Ferdinand Fabre et de l'école Langevin Wallon ont visité l'exposition et assisté à l'exposé de Georges Barthas. Un jeu de questions-réponses animé par Jean Lavastre s'en est suivi, montrant toute la curiosité des jeunes élèves.